Elle a un nom qui claque comme un étendard. Une vie qui a défrayé la chronique.

Rien de plus, sauf elle, la vie est le roman de sa vie.

Victoire de Montesquiou est fille de duc et descendante de d’Artagnan, elle fut l’une de ces reines du Tout Paris que l’on fêtait pour sa beauté, une figure mythique des années Pompidou.

Cette vie qu’elle raconte ici avec talent, pudeur et émotion, est belle et tragique, à l’image de notre destinée. En sa jeunesse glorieuse et rayonnante dans le Paris des Trente Glorieuses, elle se lie d’amitié avec ces hommes qui ont marqué la France : Pompidou, Malraux, Giscard…, avec ceux et celles qui ont rayonné dans le monde des arts : Jean-Louis Barrault, Jean d’Ormesson, Claude Sautet, Macha Méril… ; puis c’est la rupture de Mai 1968 qui correspond pour elle à la déchirure, le divorce, les enfants dont on lui enlève la garde, mais aussi l’entrée dans la vie professionnelle ; et, à 40 ans, le retour à l’Essentiel, dans sa Gascogne, avec l’homme qu’elle aime. Elle nous distille ce bonheur au fil des jours, dont elle a le goût et le secret.

 

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